•  30° à l'ombre, sous les arbres une toute petite brise ,légère comme une plume...c'est une caresse douce et chaude qui me berce dans une délicieuse torpeur;fasse que l'été ne soit que soleil,je m'y dore comme la salamandre lézardante et j'écoute les minuscules vibrations de la nature qui respire ,comme un coeur qui bat,pulsations rythmées au gré des insectes et oiseaux ,végétaux qui la meublent ...c'est décidé, je vais  m'instruire sur les oiseaux,  ces voyageurs venus du ciel,  pensionnaires fidéles, qui chaque jour viennent me chanter rengaine;je ne reconnais que la ritournelle du merle siffleur,celle de la pie chapardeuse, le roucoulement monotone de la tourterelle et les pepiements joyeux des petits moineaux, c'est élémentaire mon cher watson, me direz vous, exact c'est pourquoi je vais de ce pas apprendre leur langage,pour les mieux aimer et les respecter.

    votre commentaire

  • votre commentaire

  • votre commentaire
  • Avons croisé deux excités italiens,gonfles à bloc,qui nous ont tenu la jambe ,sous un soleil de plomb,pendant une heure pour remplir un espéce de constat d'accident à "l'amiable" ,dont je ressors ,en plus, fautive;j'emmenais la polo avec framboise au garage pour lui refaire une petite santé,eux(les italiens) ont failli nous casser la notre....en marche arrière petit accro de l'aile avant gauche de sa bagnole,attention c'était une véritable catastrophe,on aurait dit que le ciel leur tombait sur la tête!!! enfin bref,  passons, on  est sorties indemmes et maintenant on sue comme des madeleines,ne nous plaignons pas ,il fait beau beau beau et c'est super, 32 degrès à l'ombre !!!!


    votre commentaire
  • Depuis 3 jours, enfin le soleil distribue sans compter sa chaleur regenerante:il était temps,nous étions tous dans un état de manque qui nous figeait  dans une langueur,une apathie inquiétante et stérile.Point on n'en parle plus,je me hâte de profiter de cette aubaine ,ne sachant combien de temps elle durera, je jardine tous les jours en parlant aux tortues aux oiseaux au chat aux insectes,bref à tous les pensionnaires du grand air,je déjeune dehors,je lis,paresse sur mon transat,je colle à la nature sans jamais me lasser,je promène mon nez au ciel bleu pour ne rien perdre de sa reposante couleur, je recharge mes piles, je ris, je chante ,me voilà à nouveau pleine de ressources et d'entrain...rien à voir avec l'empathie que j'éprouve à l'égard de mes semblables, qui fléchissent eux, et systématiquement ma bonne foi,non ,d'ailleurs grâce au soleil et à mon amour,je n'ai pas besoin  d'eux pour être heureuse, ici dans ma petite entreprise personne ne biaise, ne circule que  la tendresse.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique